Le Maroc, destination à privilégier en 2024, selon Bloomberg
LE MAROC, UNE DES DESTINATIONS À PRIVILÉGIER EN 2024, SELON BLOOMBERG
À la faveur d’une stratégie de promotion réussie, le Maroc a accueilli près de 14 millions de touristes l’année écoulée, un record, écrit l’agence américaine Bloomberg qui inscrit le pays parmi les destinations incontournables à visiter en 2024.
Malgré le tremblement de terre qui a frappé la région d’Al Haouz, le Maroc a réalisé une année record en 2023 avec 14 millions de touristes, soit un million de plus qu’en 2019, une dynamique à mettre principalement à l’actif de la stratégie marocaine qui consiste à promouvoir le tourisme au-delà des destinations traditionnelles comme Marrakech, écrit Bloomberg dans un article intitulé Où aller en 2024.
Recommandant aux touristes 24 destinations internationales à visiter en 2024, une année qui s’annonce sous de bons auspices en matière de voyages, l’agence indique notamment que la ville ocre regorge de structures hôtelières et de délices créatifs qui allient modernité et authenticité marocaines.
Même constat dans la région du Nord du Maroc qui offre des hôtels-boutiques élégants et garantit aux visiteurs un décor éloigné des grandes stations balnéaires de Tanger, relève le média qui met en avant, entre autres, les charmes des jardins tropicaux et la vue imprenable sur le détroit de Gibraltar.
Bloomberg fait observer en outre que les touristes peuvent aussi explorer Rabat, une ville en effervescence, citant plusieurs attractions qui font la marque distinctive de la capitale du royaume.
Dans sa rubrique Travel, le média a recommandé aux touristes d’aller à la découverte d’autres endroits du Maroc, comme Tétouan et Meknès, moins fréquentés mais sans doute tout aussi séduisants que les villes très prisées de Marrakech, Rabat et Fès.
Selon l’Association du transport aérien international (IATA), quelque 4,7 milliards de personnes prendront l’avion en 2024. Cette tendance marque une différence par rapport à des années marquées notamment par les répercussions de la pandémie de Covid-19, l’incertitude économique et les conflits géopolitiques, indique Bloomberg.