vendredi, novembre 22, 2024
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Affaire de la prétendue « fille cachée » de Hassan II : du nouveau

DU NOUVEAU DANS L’AFFAIRE DE LA PRÉTENDUE « FILLE CACHÉE » DE FEU HASSAN 2

Affaire de la prétendue « fille cachée » de Hassan II : nouvelles avancées
Depuis plusieurs années, l’affaire de la prétendue « fille cachée » de Hassan II, ancien roi du Maroc, suscite l’attention et continue d’évoluer. Jane Benzaquen, une femme septuagénaire née à Casablanca, affirme avec conviction être la « fille cachée » de Hassan II, la demi-sœur du roi actuel, Mohammed VI et réclame une compensation financière qui soit amiable, discrète, juste et équitable d’environ quinze millions d’euros. Cette affaire complexe et intrigante se poursuit avec un nouvel élan, alors que Jane Benzaquen cherche toujours à obtenir la reconnaissance de sa paternité présumée.

Recours à un avocat de renom
Pour renforcer ses démarches judiciaires, Jane Benzaquen a fait appel à un avocat belge de renom, Marc Uyttendaele. Cet avocat a déjà été impliqué avec succès dans une affaire similaire, celle de l’artiste plasticienne belge Delphine Boël, qui a poursuivi une longue bataille juridique pour la reconnaissance de sa paternité par l’ex-roi des Belges, Albert II. Grâce à un test ADN, Delphine Boël a finalement obtenu la reconnaissance de sa filiation biologique avec Albert II. L’avocat belge est maintenant investi d’une mission similaire pour Jane Benzaquen, dans le but de faire avancer les procédures légales et obtenir sa reconnaissance en tant que membre de la famille royale marocaine.

Des tests ADN confirmatoires
Les tests ADN ont joué un rôle central dans cette affaire complexe. Les résultats de ces tests ont déjà écarté la possibilité que Raoul Jossart, le ressortissant belge cité comme le père biologique de Jane Benzaquen sur son acte de naissance, soit effectivement son père. Plusieurs tests ADN distincts ont également montré que l’héritage génétique de Jane Benzaquen était lié à l’Afrique du Nord et au Moyen-Orient, plutôt qu’à l’Europe occidentale.




Les éléments
Jane Benzaquen, dans sa quête pour la reconnaissance de paternité, avance plusieurs éléments. Elle relate les souvenirs que lui a transmis sa propre grand-mère. Selon ces récits, le prince héritier de l’époque, Moulay Hassan (qui deviendra plus tard Hassan II), rendait visite à leur famille à Casablanca à bord d’une Mercedes royale. Ces visites étaient accompagnées de dons en argent et en nourriture. De plus, Jane Benzaquen prétend que sa mère avait des rendez-vous galants avec le prince, arrangés avec l’aide des voitures royales. Ces éléments appuient sa conviction selon laquelle il existait une liaison entre sa mère et Hassan II.

Le passé refoulé
Avant la mort de feu Hassan II, Jane Benzaquen a toujours évité de creuser son propre passé. Elle admet avoir été remplie de colère et de réticence à ouvrir la « boîte de Pandore » que constituait son passé. Cependant, sa détermination a grandi avec le temps, et elle a décidé de poursuivre la reconnaissance de sa prétendue filiation avec Hassan II.

Un cas intriguant et complexe
L’affaire de la « fille cachée » de Hassan II reste un cas intrigant et complexe qui évolue au fil du temps. Les enjeux personnels et historiques de cette affaire continuent d’alimenter les débats et d’attirer l’attention médiatique, non seulement au Maroc, mais également à l’international. Le rôle des avocats et des tests ADN joue un rôle crucial dans la quête de Jane Benzaquen pour la vérité sur ses origines et sa présumée filiation avec la famille royale marocaine.




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