vendredi, novembre 22, 2024
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L’AMME dénonce le harcèlement du Maroc par “Human Rights Watch”

L’ASSOCIATION MAROCAINE DES MÉDIAS ET DES ÉDITEURS DÉNONCE LE HARCÈLEMENT DU MAROC PAR “HUMAN RIGHTS WATCH” ET L’IMPARTIALITÉ DE SON RAPPORT

L’Association marocaine des médias et des éditeurs (AMME) a dénoncé le harcèlement du Maroc par “Human Rights Watch” (HRW), qui reste fidèle à sa démarche d’impartialité, en porte-à faux avec les principes de neutralité, d’objectivité et de crédibilité dans la rédaction de rapports thématiques sur les droits de l’Homme à caractère international.




En agissant de la sorte, cette organisation a failli à sa mission et révélé sa véritable identité politique suspecte, a ajouté l’Association marocaine des médias et des éditeurs dans un communiqué.

Dans le cadre de ses missions de suivi de la situation des journalistes marocains et de la contribution au débat public, juridique et constitutionnel sérieux autour de la liberté d’opinion et d’expression et des autres droits fondamentaux y afférents, l’Association marocaine des médias et des éditeurs a pris connaissance du rapport publié par l’organisation “Human Rights Watch”, ayant un intitulé tout sauf professionnel et qui va à l’encontre des démarches déontologiques en matière de rédaction des rapports sur les droits de l’Homme, avec un jeu de mots irresponsable qui cache d’autres visées sans lien avec les sujets figurant dans ce rapport.

L’Association marocaine des médias et des éditeurs s’est ainsi dite surprise par le degré d’amateurisme et de confusion avec lequel le rapport a été rédigé, sans parvenir à dégager une nouvelle idée sur la situation des droits des professionnels du secteur de la presse et des médias au Maroc.




L’Association marocaine des médias et des éditeurs a dénoncé le fait que le rapport soit inondé par les accusations gratuites sans preuve aucune et par les atteintes aux institutions nationales marocaines, ajoutant que le document a délibérément dénigré, avec rancune, l’ensemble des réalisations accomplies par le Maroc ces dernières années.

Tout en exprimant son étonnement quant au timing de la publication du rapport qui coïncide avec la célébration par le peuple marocain de la Fête du Trône, l’Association marocaine des médias et des éditeurs enregistre avec grand regret que l’organisation “Human Rights Watch” demeure fidèle à sa démarche d’impartialité, en porte-à faux avec les principes de neutralité, d’objectivité et de crédibilité dans la rédaction de rapports thématiques sur les droits de l’Homme à caractère international, rédigés dans les langues vivantes, “ce que nous considérons comme une sorte de désinformation et de tromperie de l’opinion publique internationale”.

Elle a également fait part de son regret d’induire en erreur la communauté internationale en faisant croire que le Maroc vit encore sous l’ère des années de plomb avec laquelle le Royaume a rompu, sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, avec une audace et un courage inégalés, en mettant en place des mécanismes pratiques, juridiques et constitutionnels pour l’équité et la réconciliation.




L’Association marocaine des médias et des éditeurs a aussi pointé du doigt la persistance de “Human Rights Watch” à semer le doute, d’une manière maladive, autour de l’institution de la justice, des magistrats du Maroc et de ses tribunaux, en revenant sur des sujets, des poursuites et des dossiers dont les contextes n’ont aucun lien les uns avec les autres et sur lesquels des verdicts ont été rendus en présence d’avocats, d’observateurs et d’ONG des droits de l’Homme.

Elle a, en outre, fait remarquer que les auteurs du rapport ont voulu, avec préméditation, porter atteinte aux institutions de sécurité, de justice, de législation et au secteur de l’information marocain indépendant, en se permettant de classer des journalistes soit comme des “pro-Makhzen” ou des partisans d’autres parties, ce qui constitue des balivernes qui n’existent que dans l’imagination des rédacteurs du rapport.

L’Association marocaine des médias et des éditeurs se réserve le droit de suivre toutes les contrevérités contenues dans le rapport, en les battant en brèche par tous les moyens juridiques et cadres de référence en vue de faire prévaloir la vérité, conclut le communiqué.