Un journal colombien promeut le Maroc comme destination touristique post-pandémie
Un journal colombien promeut le Royaume du Maroc comme destination touristique post-pandémie
Après l’exemption de visa pour le Maroc, le quotidien à grand tirage en Colombie El Tiempo a publié, vendredi, un article promouvant le Maroc comme principale destination touristique post-pandémie pour les Colombiens, soulignant la richesse, la diversité et les contrastes de l’offre de divertissement du Royaume.
Sous le titre «Lieux à visiter au Maroc maintenant que vous pouvez partir sans visa», le journal explique qu’ »après la signature de l’accord d’exemption de visa pour les Colombiens, entre le Ministère des Affaires étrangères de Colombie et son homologue marocain, les Colombiens n’auront besoin désormais pour voyager au Maroc que de leur passeport ».
Cette nouvelle, ajoute la publication, a encouragé de nombreuses personnes à préparer leurs voyages post-pandémie pour le Maroc.
El Tiempo fait observer que parmi les destinations de choix figure Marrakech, «une ancienne ville impériale dans l’ouest du Maroc et un centre économique important avec des mosquées, des palais, des jardins, son médina et des monuments historiques» qui en font une destination touristique prisée.
Le quotidien met en avant également les potentialités touristiques de la ville de Casablanca, l’une des villes les plus connues du Maroc, grâce, entre autres, au film qui porte son nom.
Le film sorti en 1942 est considéré comme un chef-d’œuvre qui a contribué à renforcer le rayonnement de la capitale économique. «Au-delà, c’est une ville portuaire et un centre commercial donnant sur la côte atlantique.
L’héritage colonial français de la ville se voit dans l’architecture mauresque, mélange du style marocain et de l’art déco européen», relève la même source, qui s’attarde le «symbole de la ville» qu’est la mosquée Hassan II. Parmi les villes recommandées par le journal colombien à son lectorat, il y a Chaouen.
«La ville bleue considérée comme l’une des plus belles villes de ce pays, en raison de ses maisons blanches et bleues et de la lumière éclatante à longueur de journée» qui inonde la ville.
«C’est pourquoi c’est le lieu idéal pour des milliers de peintres et d’artistes, qui visitent «La Perle du Nord», pour sa beauté captivante et son architecture et ambiance méditerranéennes», note le quotidien. El Tiempo invite les lecteurs à découvrir aussi la ville d’Asilah, «cette petite ville sur la côte atlantique aux affluents portugais.
Les murs qui entourent la vieille ville contrastent avec ses maisons blanches et en font une destination très prisée, surtout en été. Elle est attrayante pour les touristes grâce à ses plages de sable fin sur les rivages de l’Atlantique».
Et le quotidien colombien d’évoquer également les potentialités touristiques d’Ifrane, qui culmine à 1.713 mètres dans les montagnes du Moyen Atlas, ce qui lui confère un climat froid qui influence son urbanisme de style d’Europe centrale, et aussi de Meknès, la ville impériale aux multiples monuments historiques et sites naturels.
Le journal ne manque pas de revenir sur Rabat, «quatrième ville impériale du Maroc, qui a un curieux mélange de tradition historique et modernité», estimant que Merzouga, la porte d’entrée du vaste désert marocain, s’impose aussi comme une destination incontournable du Maroc.
«C’est un joyau très populaire aux yeux des touristes du monde entier. Merzouga est une petite ville située dans le sud-est du Maroc, connue dans le monde entier pour ses beaux paysages et l’immensité de ses dunes», détaille El Tiempo.